
Reportage mené par Thierry Lincompétent.
TF1, une chaîne existante depuis le 6 Janvier 1975, est devenue avec le temps l’une des chaînes accueillant les plus gros déchets de ce monde. De la nullité, de la nullité, et toujours de la nullité. Pour comprendre ce phénomène, nous nous somme introduit dans le bureau de Gilles Périssons, le directeur général de l’antenne.
L’homme est assis derrière son bureau, nous patientons le temps qu’il finisse son petit déjeuné, composé d’un pain aux raisins, d’un café, non sucré, avec une petite cuillère pour touiller. Il pose sa cuillère sur un bout de papier pour ne pas tâcher le bureau. Là il boit. Donc on attend toujours. On attend toujours. On attend. Bon écoutez j’arrête d’écrire je vais attendre qu’il est fini.
Voilà il a fini. Nous nous approchons alors de l’homme. Nous lui expliquons que nous somme là pour comprendre le fonctionnement de son choix de programme, en lui posant des questions dont lui doit y répondre dans un micro que je vais fixer sur sa chemise avec une petite pince noir en plastique, pendant que mon collègue le filmera ce qui nous permet ainsi de. Là il me coupe précipitamment: « Vous êtes des journalistes quoi. »
Je réponds: « Oui voilà c’est cela, je ne trouvais plus le mot ».
Il se met alors à rire, mais nous ne comprenons toujours pas la raison de ce rire su bite. C’est alors que nous engageons la première question. « D’où vous viens cette inspiration pour faire des programmes toujours aussi mauvais ? ».
Périssons: « Pardon ? »
Moi: « Il n’y a pas de mal. »
Périssons: « Non mais vous vous moquez de moi ? »
Moi: « Non, c’est une simple question. »
Périssons: « C’est une blague c’est ça ? »
Moi: « Non nous somme très sérieux, nous nous demandons juste comment vous viens votre inspiration pour créer des programmes avec aussi peu de qualité »
Périssons (me coupe): « ..attendez attendez »
Moi: « et d’émissions… Ben c’est quand même très mauvais non ? C’est une chaîne nullissime ? »
Périssons: « Bon écoutez je ne suis pas apte à répondre à des questions désobligeantes venant de bobos gauchistes comme vous, je vous demande maintenant de prendre la porte. »
Moi: « D’accord mais une dernière question: Qu’est-ce que cela vous fait d’être responsable de la peur des gens au quotidien grâce à la formulation de vos informations continuellement négatives et exagérées ? »
Périssons: « Petits salopard! »
L’homme se leva et tenta de m’étrangler. Alors je m’arrêta et nous sortîmes de la salle en courant, avec quelques hématomes. Ce ne fût pas un reportage très complet, mais nous nous sentîmes l’obligation de partir quand cette homme nous agressasse.